La lutte antiterroriste belge au banc des accusés après les attentats de Bruxelles
Manque de moyens et de coordination, quartiers laissés en déshérence, où des islamistes radicalisés ont pu s'implanter, "erreurs" dans le suivi des suspects: deux jours après les attentats sanglants de Bruxelles, les failles dans la lutte antiterroriste belge apparaissaient au grand jour, ébranlant le gouvernement belge.Les critiques à l'encontre des services belges avaient commencé après les attentats de Paris de novembre, planifiés et...