Le plus grand fan de Donald Trump porte sa mesure choc sur la peau
ÉTATS-UNIS - Il s'appelle Steve Travers et le moins que l'on puisse dire c'est qu'il n'a pas froid aux yeux. À en juger par son accoutrement, lors d'un meeting de Donald Trump à Orlando samedi 5 mars, il est l'un des plus grands fans du probable candidat républicain à la présidentielle américaine.
Habillé tel un mur de pierres blanches, avec comme message "Le Mexique paiera", Steve Travers fait référence à l'un des engagements de Trump les plus clivants.
En effet, le milliardaire promet qu'il fera construire s'il est élu à la Maison-Blanche un gigantesque mur entre les Etats-Unis et le Mexique. Permettant selon lui de lutter contre les passages clandestins et l'entrée de trafics de stupéfiants sur le territoire américain.
Une véritable forteresse dont le principe même choque, et qu'il souhaite laisser aux frais du Mexique (qui refuse catégoriquement ).
Installé juste derrière le podium où se tenait Donald Trump, Steve Travers gênait quelque peu les équipes de télévision. "CNN m'a demandé de me déplacer gentiment parce que j'altérais les images mais j'ai répondu que je ne pouvais vraiment pas" a confié le sexagénaire au New York Post. "J'aime la CNN, je les aimes vraiment, mais j'étais en pleine action".
Pendant son meeting, Donald Trump a quand à lui répété : "Nous allons construire le mur, ne vous inquiétez pas! Nous allons le construire, et qui va le payer ?". Ce a quoi le public a répondu haut et fort: "Le Mexique!". Il a également profité de ce moment pour appelé son rival Marco Rubio à abandonner la course.
Habillé tel un mur de pierres blanches, avec comme message "Le Mexique paiera", Steve Travers fait référence à l'un des engagements de Trump les plus clivants.
En effet, le milliardaire promet qu'il fera construire s'il est élu à la Maison-Blanche un gigantesque mur entre les Etats-Unis et le Mexique. Permettant selon lui de lutter contre les passages clandestins et l'entrée de trafics de stupéfiants sur le territoire américain.
Une véritable forteresse dont le principe même choque, et qu'il souhaite laisser aux frais du Mexique (qui refuse catégoriquement ).
"I was told sexy costumes get in free." pic.twitter.com/sXrmvCkeig
— Mina Kimes (@minakimes) 5 mars 2016
Installé juste derrière le podium où se tenait Donald Trump, Steve Travers gênait quelque peu les équipes de télévision. "CNN m'a demandé de me déplacer gentiment parce que j'altérais les images mais j'ai répondu que je ne pouvais vraiment pas" a confié le sexagénaire au New York Post. "J'aime la CNN, je les aimes vraiment, mais j'étais en pleine action".
Pendant son meeting, Donald Trump a quand à lui répété : "Nous allons construire le mur, ne vous inquiétez pas! Nous allons le construire, et qui va le payer ?". Ce a quoi le public a répondu haut et fort: "Le Mexique!". Il a également profité de ce moment pour appelé son rival Marco Rubio à abandonner la course.
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