La nurse est schizophrène, ses déclarations doivent être traitées en conséquence
Une schizophrénie a été diagnostiquée chez la nurse qui a décapité la fillette à Moscou le 29 février, et ainsi ses déclarations, y compris sur les motifs du crime qu'elle qualifie de vengeance pour les frappes russes en Syrie, doivent être traitées en conséquence, explique le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.