Le chef du conseil d'Alep implore l'ONU de sauver sa ville
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Si le Conseil de sécurité échoue à imposer un arrêt des combats, il aura signé "l'arrêt de mort" des 250.000 civils pris au piège à Alep-est, affirme à l'AFP le président du conseil local des quartiers rebelles, en visite en France.Brita Hagi Hassan, qui a été reçu mercredi par le chef de la diplomatie française Jean-Marc Ayrault, réclame l'ouverture d'un "corridor sécurisé" sous contrôle de l'ONU pour permettre aux civils de fuir vers les zones tenues par les rebelles...