Quand Cécile Dufflot ne voulait pas se présenter à la présidentielle (ni à la primaire)
POLITIQUE - Cécile Duflot a officialisé sa candidature à la primaire écologiste en vue de l'élection présidentielle de 2017 dans une lettre publiée samedi 20 août par Libération.
Pourtant l'ancienne ministre du Logement a longtemps rejeté l'idée de concourir à la fonction suprême. Interrogée fin 2009 par Laurent Delahousse sur France 2 à propos de ses ambitions, elle se désolait alors que la vie politique française soit "obnubilée par ce concours de beauté qui rend la vie politique française vraiment malade".
Et d'exprimer franchement ses doutes sur ses "compétences personnelles" à occuper ce poste. Après son départ du gouvernement en mars 2014, Cécile Duflot a toutefois changé d'avis: "J’estime que j'ai les épaules" pour 2017, assurait-elle.
Fin 2015, sa participation à l'élection présidentielle en 2017 était selon elle "une question qui ne se pose pas". Hostile à l'organisation d'une primaire chez Europe Écologie-Les Verts, Cécile Duflot affirmait encore en juillet dernier ne pas vouloir participer à "une machine à fabriquer de la division". Mais l'ancienne cheffe du parti écologiste a, une fois encore, changé d'avis. La preuve en images :
Pourtant l'ancienne ministre du Logement a longtemps rejeté l'idée de concourir à la fonction suprême. Interrogée fin 2009 par Laurent Delahousse sur France 2 à propos de ses ambitions, elle se désolait alors que la vie politique française soit "obnubilée par ce concours de beauté qui rend la vie politique française vraiment malade".
Et d'exprimer franchement ses doutes sur ses "compétences personnelles" à occuper ce poste. Après son départ du gouvernement en mars 2014, Cécile Duflot a toutefois changé d'avis: "J’estime que j'ai les épaules" pour 2017, assurait-elle.
Fin 2015, sa participation à l'élection présidentielle en 2017 était selon elle "une question qui ne se pose pas". Hostile à l'organisation d'une primaire chez Europe Écologie-Les Verts, Cécile Duflot affirmait encore en juillet dernier ne pas vouloir participer à "une machine à fabriquer de la division". Mais l'ancienne cheffe du parti écologiste a, une fois encore, changé d'avis. La preuve en images :
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