Les jobs les plus cons des Jeux olympiques
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Aux Jeux olympiques, on ne voit bien souvent que les athlètes: ils remportent des médailles et font hurler de joie les foules. Mais, il y a aussi les autres, les petites mains des Jeux, ceux qui œuvrent dans l'ombre pour que tout se passe bien. Et parmi ceux-là, quelques-uns n’ont pas de bol et font vraiment des boulots ingrat, incompréhensibles voire franchement cons. Pour remédier à cela, Slate.com a décidé (avec humour) de leur redonner toutes leurs lettres de noblesse.
1.
Le lièvre de l'épreuve du keirin
On pourrait l’appeler le gars au vélo électrique des courses de keirin. Son job? Imprimer le rythme lors des cinq premiers tours lors de ces courses très particulières où les cyclistes suivent un lièvre et sprintent seulement sur les 600 derniers mètres. En gros, voilà un individu qui pédale allègrement en tête du peloton pendant la quasi totalité de la course, qui accélère progressivement jusqu’à atteindre 50 km/h et qui s’échappe brutalement avant la fin pour permettre aux athlètes de sprinter et de franchir la ligne d’arrivée.
À Rio, ce fameux lièvre est un cycliste semi-professionnel, Ivo Siebert, qui possède également un magasin de vélo. Et d’après lui, son boulot est une sacrée dose d’adrénaline:
«Vous sentez cette énergie derrière vous... mais vous devez rester concentré sur la vitesse et sur les virages», a-t-il déclaré à Reuters, qui lui a d’ailleurs consacré un article ... Lire la suite