Nicolas Sarkozy raconte les deux fois où il s'est battu pendant sa jeunesse
POLITIQUE - Ce sont ces interviews où il est moins question de politique que de la personnalité des femmes et hommes qui la font. Après NKM, Nicolas Sarkozy se prête au jeu dans Le Point qui sort ce jeudi 4 juillet. Il y a bien quelques piques adressées à François Hollande son possible futur adversaire en 2017, mais cet entretien contient surtout des pépites qui n'ont rien à voir avec son programme pour la primaire.
On y apprend pourquoi son live préféré est Pierre et Jean de Maupassant. Le probable candidat revient aussi sur le fait que devenir père d'une fille l'a rendu encore "plus attentif" et sur les cours d'anglais qu'il a pris quotidiennement en 2012 et 2013. Nicolas Sarkozy raconte aussi les deux fois où il s'est battu après qu'on lui a demandé si, comme l'affirme sa belle-mère, il aime la bagarre.
"Je suis sorti, j'avais plus de chemise"
"J'ai été battu deux fois", déclare l'ancien président qui se replonge dans ses souvenirs de jeune homme. La première fois, détaille-t-il, c'était en 1976. Il avait alors 21 ans et étudiait à la faculté de Nanterre. "Il y avait un grand rassemblement de grévistes. J'avais une magnifique chemise bleue et un jean. Je suis sorti, je n'avais plus de chemise", se rappelle le président des Républicains.
Comment s'est-il retrouvé en mauvaise posture? "J'étais très provocant", affirme Nicolas Sarkozy qui dit être monté à la tribune pour leur dire que "faire grève, c'était un truc de prétentieux". "Je travaillais, j'étais fleuriste, et ces blocages, ça ne me plaisait pas", justifie-t-il. Conséquence finale, il n'a pas remis les pieds à l'université, et a dû se contenter de "six mois de cours du soir".
Quant à la deuxième bagarre, elle s'est déroulée sur un tatami. "J'avais décidé de m'inscrire au club de judo de Nanterre. Je n'y suis allé qu'une fois", confie celui qui a peut-être manqué une carrière à la David Douillet. Tout ça à cause d'un "petit jeune". "Il me propose de combattre. Au bout de deux minutes, j'ai volé dans les chaises du public. J'ai dit 'merci beaucoup', je suis parti et je ne suis jamais revenu", conclut Nicolas Sarkozy.
On y apprend pourquoi son live préféré est Pierre et Jean de Maupassant. Le probable candidat revient aussi sur le fait que devenir père d'une fille l'a rendu encore "plus attentif" et sur les cours d'anglais qu'il a pris quotidiennement en 2012 et 2013. Nicolas Sarkozy raconte aussi les deux fois où il s'est battu après qu'on lui a demandé si, comme l'affirme sa belle-mère, il aime la bagarre.
"Je suis sorti, j'avais plus de chemise"
"J'ai été battu deux fois", déclare l'ancien président qui se replonge dans ses souvenirs de jeune homme. La première fois, détaille-t-il, c'était en 1976. Il avait alors 21 ans et étudiait à la faculté de Nanterre. "Il y avait un grand rassemblement de grévistes. J'avais une magnifique chemise bleue et un jean. Je suis sorti, je n'avais plus de chemise", se rappelle le président des Républicains.
Comment s'est-il retrouvé en mauvaise posture? "J'étais très provocant", affirme Nicolas Sarkozy qui dit être monté à la tribune pour leur dire que "faire grève, c'était un truc de prétentieux". "Je travaillais, j'étais fleuriste, et ces blocages, ça ne me plaisait pas", justifie-t-il. Conséquence finale, il n'a pas remis les pieds à l'université, et a dû se contenter de "six mois de cours du soir".
Quant à la deuxième bagarre, elle s'est déroulée sur un tatami. "J'avais décidé de m'inscrire au club de judo de Nanterre. Je n'y suis allé qu'une fois", confie celui qui a peut-être manqué une carrière à la David Douillet. Tout ça à cause d'un "petit jeune". "Il me propose de combattre. Au bout de deux minutes, j'ai volé dans les chaises du public. J'ai dit 'merci beaucoup', je suis parti et je ne suis jamais revenu", conclut Nicolas Sarkozy.
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