VIDÉO. Les vraies réactions de Leonardo DiCaprio quand il n'est pas nommé meilleur acteur aux Oscars
CINEMA - Ne vous fiez pas aux apparences ,calmes et maîtrisées, de Leonardo DiCaprio durant les cérémonies des Oscars. Même lorsqu'il perd la statuette pour la quatrième fois, il réussit à afficher une mine confiante et détendue. Performances d'acteur, pour sûr! Nos confrères du Huffington Post américain ont imaginé dans la vidéo ci-dessus, ses réactions intérieures, sans doute bien plus expressives, voire explosives. À l'image de ses films.
Il faut dire que rater l'oscar quatre fois de suite, c'est à devenir fou. Sa première nomination remonte déjà à une vingtaine d'années, alors qu'il atteignait tout juste la majorité américaine. C'était en 1994, pour le rôle d'Arnie, l'enfant atteint de retard mental du film de Lasse Hallström What’s Eating Gilbert Grape. Performance qui lui avait demandée un dévouement inédit et une appropriation totale pour éviter de tomber dans l'écueil de la mièvrerie et du pathos. Il avait d'ailleurs rapporté au film sa seule nomination aux Oscars, celle du meilleur acteur.
Onze ans plus tard, le scénario se répète: on est alors en 2005 et DiCaprio crève l'écran avec The Aviator de Martin Scorsese où il incarne avec passion les multiples vies du sulfureux milliardaire et pionnier de l'aviation Howard Hughes. Nominé pour l'Oscar du meilleur premier rôle, il voit la prestigieuse statuette lui passer sous le nez et récompenser Jamie Foxx pour son incarnation du légendaire roi du blues dans Ray.
Deux ans après, à peine, le voilà à nouveau nominé pour le meilleur premier rôle dans Blood Diamonds. Si le film reçoit un bon accueil (cinq nominations), le jeu de DiCaprio, intense, n'est pas jugé le meilleur cette année-là. C'est le puissant Forest Whitaker alias le dictateur ougandais Amin Dada dans Le dernier roi d'Écosse de Kevin Macdonald qui a raflé la mise pour son effroyable performance.
Et le mauvais sort ne s'arrête pas là. 2007, Le loup de Wall Street. Pendant trois heures de film, DiCaprio est le magnat de la finance, Jordan Belfort et livre une prestation ultra-rythmée et insolente. Argent. Pouvoir. Femmes. Drogue. Le milliardaire n'a aucune limite, mais ce n'est toujours pas assez pour atteindre enfin le graal hollywoodien. Personne n'avait pourtant rampé si lamentablement vers une Lamborghini avant lui.
Avec The Revenant, le vent pourrait enfin tourner. La récompense reçue aux Bafta (les Oscars britanniques) est de bonne augure. Leo pourrait enfin quitter son masque de cérémonie et laissé exploser sa joie.
Il faut dire que rater l'oscar quatre fois de suite, c'est à devenir fou. Sa première nomination remonte déjà à une vingtaine d'années, alors qu'il atteignait tout juste la majorité américaine. C'était en 1994, pour le rôle d'Arnie, l'enfant atteint de retard mental du film de Lasse Hallström What’s Eating Gilbert Grape. Performance qui lui avait demandée un dévouement inédit et une appropriation totale pour éviter de tomber dans l'écueil de la mièvrerie et du pathos. Il avait d'ailleurs rapporté au film sa seule nomination aux Oscars, celle du meilleur acteur.
Onze ans plus tard, le scénario se répète: on est alors en 2005 et DiCaprio crève l'écran avec The Aviator de Martin Scorsese où il incarne avec passion les multiples vies du sulfureux milliardaire et pionnier de l'aviation Howard Hughes. Nominé pour l'Oscar du meilleur premier rôle, il voit la prestigieuse statuette lui passer sous le nez et récompenser Jamie Foxx pour son incarnation du légendaire roi du blues dans Ray.
Deux ans après, à peine, le voilà à nouveau nominé pour le meilleur premier rôle dans Blood Diamonds. Si le film reçoit un bon accueil (cinq nominations), le jeu de DiCaprio, intense, n'est pas jugé le meilleur cette année-là. C'est le puissant Forest Whitaker alias le dictateur ougandais Amin Dada dans Le dernier roi d'Écosse de Kevin Macdonald qui a raflé la mise pour son effroyable performance.
Et le mauvais sort ne s'arrête pas là. 2007, Le loup de Wall Street. Pendant trois heures de film, DiCaprio est le magnat de la finance, Jordan Belfort et livre une prestation ultra-rythmée et insolente. Argent. Pouvoir. Femmes. Drogue. Le milliardaire n'a aucune limite, mais ce n'est toujours pas assez pour atteindre enfin le graal hollywoodien. Personne n'avait pourtant rampé si lamentablement vers une Lamborghini avant lui.
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