Attend-on d’un grand cinéma qu’il nous plonge au cœur du monde ou qu’il nous en protège ? De l’art amniotique d’Apichatpong Weerasethakul (Cemetery of Splendour) à la frénésie postapocalyptique de George Miller (Mad Max – Fury Road), les plus beaux films de l’année ont finement déjoué l’alternative.