Charles Ducroux
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« Les passants de Charles Ducroux nous émeuvent mystérieusement. On n’ose pas détourner les yeux, de peur qu’ils n’aient quitté la toile pour aller leur chemin, sans le moindre regard pour nous. (…) Hantées par une certaine mélancolie et cette impression de solitude qui est le fait de la vie même, les toiles de Charles Ducroux sont presque toujours en demi-teinte. Des présences silencieuses les traversent, comme sur le quai d’une gare ou le trottoir d’une ville qui pourrait être la nôtre ». Luis Porquet, critique d’art,