L’élevage ovin, un potentiel à ranimer
De 16 millions sous Ceaucescu, le cheptel ovin roumain est tombé à moins de 10 millions. Idéalement placé à proximité des marchés du Moyen-Orient, le pays dispose de nombreux atouts. Mais les besoins en génétique et structuration de filière, comme de renouvellement des générations, sont colossaux.