Accueil des réfugiés : « M. Harper ne cherche que des prétextes pour ne pas en faire plus », juge Trudeau
L'argument sécuritaire invoqué par le chef du Parti conservateur, Stephen Harper, pour ne pas ouvrir davantage et plus rapidement les frontières canadiennes aux réfugiés syriens, ne tient pas la route, a lancé son rival libéral, Justin Trudeau, qui y voit plutôt un faux-fuyant pour ne pas agir.