La torture, cet interdit qui effraie de moins en moins les Français
54 % l’accepteraient sur une personne suspectée d’avoir posé une bombe. Et 18 % affirment même être prêts à la pratiquer eux-mêmes si les circonstances l’exigeaient. Tels sont les inquiétants résultats d’un sondage rendu public hier par l’Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (Acat).