Rab Edzaïr» n’est plus. En Algérie, décidément, même les dieux meurent. Par doses homéopathiques de décrets présidentiels sonnant le glas d’une époque, celle de «l’homme fort», du «faiseur et dé-faiseur de rois», avec son armada de pouvoirs illimités.
Hier, dimanche, l’indéboulonnable général de corps d’armée Mohamed Mediène dit Toufik, commandant depuis 25 ans du Département du renseignement et de la sécurité, — le DRS, les omnipotents Moukhabarate algériens —, a remisé son képi, ses galons, avant de prendre la porte de(s) «Services». Читать дальше...