Dans les années 1960-1970, Dieu était mort et enterré, sans fleurs, ni couronnes. Un siècle après Marx, Nietzsche, Freud et les «maîtres du soupçon», les philosophes prophètes de la «mort de Dieu» annonçaient une nouvelle ère post-religieuse, un progrès inéluctable de la raison scientifique et technique, une laïcisation définitive des mœurs, des idées, de la politique. Mais Dieu avait été simplement refoulé. Il ne demandait qu’à prendre sa revanche. Et de la pire des manières. Au XXIe siècle, les... Читать дальше...