Il n’était pas dans les premiers rangs, avec Snapchat ou LinkedIn. Pas non plus au dernier, en compagnie de l’insolent X, de l’agité TikTok, ou du cancre Telegram. Aux yeux de l’Union européenne, Meta était, sur la modération, un élève pas toujours volontaire, mais à l’écoute. Depuis 2016 et au gré des scandales (Cambridge Analytica, Facebook Files…), son dirigeant et fondateur, Mark Zuckerberg, a œuvré plutôt positivement sur les contenus publiés sur ses plateformes. Une priorité pour l’UE, qui... Читать дальше...