Le Reposoir. Le recensement, c’est aussi pour les gypaètes barbus
Si nos ancêtres lui attribuaient les pires horreurs -voleur d’enfants, oiseau du diable aux yeux rouges, et autres réjouissances-, la réputation du gypaète barbu s’est nettement améliorée. Le résultat du travail de pédagogie qui a accompagné sa réintroduction, comme encore ce samedi 11 octobre au col de la Colombière, à l’occasion de la journée de prospection internationale du gypaète barbu.