Privas. Odile Mouëza cultive l’art des couleurs et de la lumière à travers l’enluminure
Ces métiers d’antan, insolites ou disparus, ne sont pas forcément tombés dans l’oubli. Des passionnés en ont fait leur profession, d’autres, leur violon d’Ingres. Cet été, Le Dauphiné libéré va à la rencontre de ces artisans et artistes qui ont réveillé l’âme de ces métiers oubliés. Après le savonnier Benoît Felten, on part aujourd’hui à la découverte d’Odile Mouëza, éprise d’enluminure.