BriefCam: la Cnil met en demeure le ministère de l’intérieur et six communes
Après une série de contrôles du logiciel de vidéosurveillance algorithmique, la Commission nationale de l’informatique et des libertés a relevé quelques manquements et demandé que soit désactivée la reconnaissance faciale. Une décision très insuffisante, selon La Quadrature du Net.