Les MA France repoussent un coup de pression pour briser l’occupation de l’usine
Des personnes se disant envoyées par le mandataire judiciaire et Stellantis ont tenté d’entrer sur le site occupé, mercredi 6 novembre, pour faire main basse sur les machines et les pièces, hors de tout cadre légal ou judiciaire. C’était sans compter sur la présence des salariés en lutte soutenus par des militants CGT et PCF ainsi que des parlementaires.