Quarante ans après l'assassinat d'Indira Gandhi, les fantômes du séparatisme sikh
Le 31 octobre 1984, la Première ministre Indira Gandhi est assassinée par ses gardes du corps sikhs, en représailles à la mort du leader extrémiste Bhindranwale lors d’une opération militaire, quelques mois plus tôt. Cette séquence est le point d’orgue de la crise qui oppose alors l’État indien aux indépendantistes du Pendjab. Quarante ans après, alors que le mouvement semble éteint en Inde, le séparatisme sikh fait de nouveau parler de lui avec plusieurs affaires qui enveniment les relations de New Delhi avec le Canada et les États-Unis.