Marché de 71 milliards entre ministère de la Santé et l'entreprise ACD: Le Parquet financier bientôt dans la danse
Le marché de 71 milliards F Cfa liant le ministère de la Santé et l’ACD va bientôt dévoiler ses vérités et l’opacité qui entoure sa signature. Le ministère des Finances et du budget dont le prédécesseur avait approuvé le marché sans la couverture financière a été saisi.
Ce marché fait-il partie des marchés cachés qui ont provoqué l’endettement accru qu’avait révélé le Premier ministre
lors de la conférence de presse du gouvernement lors de sa conférence sur la falsification des finances publiques. Ce
qui cacherait, selon des informations, une surfacturation présumée de 20 milliards F Cfa. Et aussi la Parquet financier pourrait entrer dans la danse pour tirer cette affaire au clair.
Pourtant, le collectif des fournisseurs de matériels médicaux avait saisi à plusieurs reprises la Cour suprême notamment le juge des référés pour faire casser ou annuler ce marché incriminé. Seulement, la Cour avait rejeté les requêtes en ne prenant pas en compte notamment les déclarations de la Banque Allemande KFW qui affirmait n’avoir jamais financé ce marché et en demandant de le faire sortir dans cette affaires.
En réalité, il s’est avéré que les deux Ministres cités dans cette affaire (Santé, Finance et le promoteur ACD) ont utilisé
un termsheet (simple proposition de financement) de la KFW, la Banque Allemande, pour faire approuver ce marché. Ce qui constitue au regard des dispositions du code des marchés publics, un délit de faux et de manœuvres frauduleuses aux fins de tromper l’administration.
Il faut rappeler que le marché avait regroupé 4 lots distincts (Hôpital, centre de diagnostic ,centaine d'ambulance et centaine d' équipement d'Imagerie médicale. Pour le lot d'Imagerie médicale les fournisseurs avaient souligné
le danger du monopole que constituait ce marché pour l’Etat du Sénégal dont le promoteur se retrouverait avec 10 à 15
milliards de FCFA de frais d’entretien ,de maintenance et de fourniture consommable. Pire avec ce monopole,
l’Etat se retrouverait à la merci du promoteur ACD et son partenaire SIEMENS pour imposer leurs prix, selon leur bon vouloir au détriment du dernier public.
Aujourd’hui, c’est parce que des tentatives orchestrées par des personnes tapies dans l’ombre sont en train d’être
menées, pour faire régulariser et approuver le marché par les nouvelles autorités, et ainsi tromper leur vigilance.
Point Actu
Ce marché fait-il partie des marchés cachés qui ont provoqué l’endettement accru qu’avait révélé le Premier ministre
lors de la conférence de presse du gouvernement lors de sa conférence sur la falsification des finances publiques. Ce
qui cacherait, selon des informations, une surfacturation présumée de 20 milliards F Cfa. Et aussi la Parquet financier pourrait entrer dans la danse pour tirer cette affaire au clair.
Pourtant, le collectif des fournisseurs de matériels médicaux avait saisi à plusieurs reprises la Cour suprême notamment le juge des référés pour faire casser ou annuler ce marché incriminé. Seulement, la Cour avait rejeté les requêtes en ne prenant pas en compte notamment les déclarations de la Banque Allemande KFW qui affirmait n’avoir jamais financé ce marché et en demandant de le faire sortir dans cette affaires.
En réalité, il s’est avéré que les deux Ministres cités dans cette affaire (Santé, Finance et le promoteur ACD) ont utilisé
un termsheet (simple proposition de financement) de la KFW, la Banque Allemande, pour faire approuver ce marché. Ce qui constitue au regard des dispositions du code des marchés publics, un délit de faux et de manœuvres frauduleuses aux fins de tromper l’administration.
Il faut rappeler que le marché avait regroupé 4 lots distincts (Hôpital, centre de diagnostic ,centaine d'ambulance et centaine d' équipement d'Imagerie médicale. Pour le lot d'Imagerie médicale les fournisseurs avaient souligné
le danger du monopole que constituait ce marché pour l’Etat du Sénégal dont le promoteur se retrouverait avec 10 à 15
milliards de FCFA de frais d’entretien ,de maintenance et de fourniture consommable. Pire avec ce monopole,
l’Etat se retrouverait à la merci du promoteur ACD et son partenaire SIEMENS pour imposer leurs prix, selon leur bon vouloir au détriment du dernier public.
Aujourd’hui, c’est parce que des tentatives orchestrées par des personnes tapies dans l’ombre sont en train d’être
menées, pour faire régulariser et approuver le marché par les nouvelles autorités, et ainsi tromper leur vigilance.
Point Actu