"Travailler uniquement avec des entreprises françaises" : la marque d'ameublement hédom ouvre son premier magasin à Aurillac

Une cuisine "vert fjord", des meubles de rangement magnolia, des dressings en bois, des douches stylisées, des assortiments de vaisselles terracotas et des papiers peints indigo dernier cri se dévoilent dans la première boutique hédom, ouverte boulevard de Verdun. "On suit les tendances", résume Peter Contensoux, le fondateur d’hédom, en arpentant le magasin.

Des entreprises françaises

À 38 ans, cet ancien directeur commercial pour le cuisiniste Chabert Duval vient de lancer hédom, sa marque d’aménagement global de la maison (cuisine, salle de bains, verrière, décoration…). L’objectif est clair, devenir le spécialiste "de tout l’habitat". Et rien n’est laissé au hasard.

"Nous travaillons uniquement avec des entreprises françaises. En ce qui concerne les meubles de cuisine et de salle de bains, elles sont principalement cantaliennes", souligne Peter Contensoux qui se désole que "les produits allemands" aient aujourd’hui la préférence dans les rayons.

L'accompagnement des clients

Ce premier magasin pilote est niché au sein des bâtiments des Meubles Cuminge que gère Joël Billoux. Les deux hommes se sont rencontrés à Paris, cocasse "quand on pense que nous venons tous les deux d’Ytrac".

Séduit par le concept, Joël Billoux décide de l’épauler. Quand Peter Contensoux apporte "ses connaissances techniques", le gérant, lui, justifie de trente ans d’expertise dans "l’accompagnement client et le conseil". 

Avec hédom, l’idée est d’accompagner la clientèle de la conception du projet à la pose. Du sur-mesure accessible à tous les budgets.

"Notre force, c’est le conseil. On travaille sur une ambiance"

 Et cet entrepreneur ne manque pas d’ambition. Avec son carnet d’adresses bien rempli, Peter Contensoux compte "ouvrir dix magasins par an" et se diversifier en élargissant son panel d’offres. La prochaine étape sera le « matériel outdoor". Peter Contensoux compte aussi bien chouchouter les intérieurs qu’habiller les jardins.

Camille Gagne Chabrol