Admis aux urgences pour une simple détresse respiratoire, le médecin lui administre un puissant sédatif : le patient meurt quelques heures plus tard
La loi autorise l'usage de ce médicament uniquement en cas de maladie grave et incurable et avec l'accord des proches et d'un collège de soignants. Or, aucune de ces conditions n'aurait été respectée le jour du drame.