Le consentement à l’impôt : principe et réalité
EDITORIAL - Le consentement à l’impôt va à peu près de soi dans toute démocratie. Mais si le principe n’est pas contesté, le montant mais surtout l’efficience peuvent poser problème. Nous paierions plus volontiers nos impôts si nous estimions qu’ils servent l’intérêt général sans gaspillage ni déperdition.