ru24.pro
World News in French
Октябрь
2024

Saforelle Power 6 : gros défi pour les volleyeuses de Chamalières à Vandœuvre-Nancy

0

Les Chamaliéroises ont enfin ouvert leur compteur en Saforelle Power 6, mercredi dernier, par un net succès (0-3), à Toulouse, face à France Avenir.

De quoi rasséréner les joueuses d’Atman Toubani aux débuts difficiles en compétition ?

« On était un peu sous pression face à une équipe qui n’avait rien à perdre. On a tardé à mettre la machine en marche et pour cela, on a pu compter sur la rentrée d’Amaris Carter, qui a fait de très bonnes choses, en plus à des moments importants », explique Atman Toubani, satisfait de l’objectif de 3 points, rempli.

Enfin, le VBCC avance au classement, alors que son coach n’avait de cesse, ces dernières semaines, d’insister sur la qualité du travail qu’elles accomplissent à l’entraînement, jamais réellement récompensé.

Dès lors, le coach d’estimer qu’au-delà de ce premier succès, « les joueuses sont maintenant lucides sur le fait qu’il y a des matchs cibles, où l’on vise la gagne parce que plus faciles à jouer que d’autres où, là, il faut savoir faire le dos rond, et du mieux possible, pour attendre qu’une porte s’ouvre. Et si on réussit à en ouvrir ne serait-ce qu’une seule contre ces bonnes équipes, voir ce qui peut se déclencher derrière. »

Avec Nancy, le tarif, c'est 3-0

Le genre de scénario que le VBCC, dont plusieurs joueuses ont rencontré quelques soucis de santé cette semaine, pourrait bien avoir à vivre ce mardi soir, en Lorraine, face à une équipe de Vandœuvre-Nancy aujourd’hui dauphine des intouchables Neptunes nantaises.

Et dont on peut dire, malgré son 0-3 encaissé à Aix-Venelles (2e journée), qu’elle tourne à plein régime, avec 3 succès en 4 journées sur ce même score de 3-0. 

Le tarif donc, lors d’un match avec les Lorraines auquel le VBCC avait d’ailleurs goûté lors du Tournoi de Riom, en préparation : « Nancy, c’est d’abord un très bon service-block et une défénse qui se rapproche de ce niveau-là. Une équipe, aussi, dont tous les postes sont doublés », complète aujourd’hui Atman Toubani.

Jean-Philippe Béal