Andreï Sobol, idéaliste désilusionné entre bagne tsariste et geôle bolchévique
À la découverte d’une merveille de guingois: «Le Panopticum», écrit à partir de 1921 par un esprit égaré dans la Russie blanche puis rouge. Et qui devait payer de sa vie un tel dilemme bicolore: Andreï Sobol. Sa traductrice, Fanchon Deligne, le reverdit.