Vol de chèques au Trésor : Le mode opératoire du cerveau de la bande révélé
L’affaire des chèques du Trésor falsifiés, semble sur le point d’être élucidée. Elle a conduit à trois arrestations, dont celle d’un certain Mansour K., un agent du Trésor présenté comme le cerveau de la bande. Les autres mis en cause interpellés par la Dic, en charge de l’affaire, sont une femme d’affaires dont l’identité n’a pas été révélée et un transitaire du nom de Mallé S.
D’après "Libération", qui donne l’information, l’affaire a éclaté à la suite de la plainte du payeur général, Mame Diama Diouf. Cette dernière a saisi la justice, après avoir remarqué qu’un chèque de 400 millions de francs Cfa remis par la femme d’affaires citée plus haut, est en toc. Cueillie, la suspecte a déclaré avoir reçu le chèque de Mansour K. Arrêté à son tour, le «cerveau» a reconnu les faits et détaillé son mode opératoire.
Il a déclaré, selon "Libération", repris par "Seneweb", qu’il attendait que le bureau du payeur soit vide, après la descente, pour y voler des chèques. Il imitait la signature de Mame Diama Diouf et apposait un cachet, également falsifié, sur le moyen de paiement, avant d’émettre un montant. Le journal renseigne que d’autres chèques falsifiés ont été retrouvés dans son bureau, lors de la perquisition de la Dic.
Arrêté en même temps que Mansour K. et la femme d’affaires, Mallé S. semble hors de cause. Mansour K. l’avait d’abord présenté comme son complice, avant d’effectuer un virage à 180°, si l’on en croit "Libération". Qui révèle que le transitaire, qui clame son innocence et s’estime floué, a porté plainte à son tour.
Le trio a été déféré devant le procureur. Après avoir fait l’objet d’un retour de parquet, ce mercredi, il devrait être fixé sur son sort ce jeudi. Le Parquet national financier «va demander l’ouverture d’une information judiciaire et saisir le collège des juges d’instruction», souffle "Libération".
D’après "Libération", qui donne l’information, l’affaire a éclaté à la suite de la plainte du payeur général, Mame Diama Diouf. Cette dernière a saisi la justice, après avoir remarqué qu’un chèque de 400 millions de francs Cfa remis par la femme d’affaires citée plus haut, est en toc. Cueillie, la suspecte a déclaré avoir reçu le chèque de Mansour K. Arrêté à son tour, le «cerveau» a reconnu les faits et détaillé son mode opératoire.
Il a déclaré, selon "Libération", repris par "Seneweb", qu’il attendait que le bureau du payeur soit vide, après la descente, pour y voler des chèques. Il imitait la signature de Mame Diama Diouf et apposait un cachet, également falsifié, sur le moyen de paiement, avant d’émettre un montant. Le journal renseigne que d’autres chèques falsifiés ont été retrouvés dans son bureau, lors de la perquisition de la Dic.
Arrêté en même temps que Mansour K. et la femme d’affaires, Mallé S. semble hors de cause. Mansour K. l’avait d’abord présenté comme son complice, avant d’effectuer un virage à 180°, si l’on en croit "Libération". Qui révèle que le transitaire, qui clame son innocence et s’estime floué, a porté plainte à son tour.
Le trio a été déféré devant le procureur. Après avoir fait l’objet d’un retour de parquet, ce mercredi, il devrait être fixé sur son sort ce jeudi. Le Parquet national financier «va demander l’ouverture d’une information judiciaire et saisir le collège des juges d’instruction», souffle "Libération".