Antoine Dupont de retour à l'entraînement avec le Stade Toulousain avant la réception de l'ASM Clermont

Le demi de mêlée avait fait plusieurs apparitions sporadiques ces dernières semaines sur les terrains annexes du stade Ernest-Wallon, mais il est cette fois de retour pour de bon.

Sera-t-il pour autant prêt à jouer dès samedi soir (21 h 05) pour la réception de Clermont lors de la 6e journée de Top 14 ? « Les joueurs présents postulent tous », a répondu l'encadrement toulousain.

Acteur majeur de la médaille d'or décrochée par les Bleus du VII au lendemain de la cérémonie d'ouverture des Jeux, Dupont, affûté et souriant, a participé normalement à la première séance collective de la semaine.

Il avait laissé entendre il y a deux semaines, lors de la cérémonie de la Nuit du rugby à l'Olympia, qu'il reprendrait la compétition vers la mi-octobre.

Considéré comme l'un des meilleurs rugbymen au monde, le joueur de 27 ans a passé la semaine dernière aux Etats-Unis, où il s'est essayé au football américain et a rencontré les stars du basket LeBron James et du football Lionel Messi.

Le Stade Toulousain, champion de France et d'Europe en titre, a réalisé en son absence un début de saison mitigé en championnat. Il occupe actuellement la cinquième place du classement après deux défaites consécutives contre Bordeaux-Bègles (16-12), la première à domicile depuis février 2022, puis à Castres (28-23) ce samedi.

Ntamack et Capuozzo également de retour

En congés la semaine passée, l'ouvreur Romain Ntamack et l'arrière ou ailier international italien Ange Capuozzo ont également fait leur retour à l'entraînement ce lundi, comme l'arrière polyvalent argentin Juan Cruz Mallia, rentré du Rugby Championship disputé avec les Pumas.

Le troisième ligne anglais Jack Willis, touché à une cuisse, a lui repris la course aux côtés d'un autre troisième ligne, Alban Placines. 

Le pilier gauche Cyril Baille est lui toujours à l'infirmerie, en compagnie notamment du jeune troisième ligne Mathis Castro-Ferreira, du centre argentin Santiago Chocobares et du pilier néo-zélandais Nepo Laulala.

AFP