Affaire Cheikh Issa Sall : "Sans Limites", condamné par défaut, persiste, signe et n’enlève aucune virgule !
Sûrement apeuré par les nouvelles poursuites judiciaires annoncées dès cette semaine par le Premier ministre Ousmane Sonko, le sieur Cheikh Issa Sall et son clan ont payé une certaine presse, pour faire publier un verdict condamnant notre groupe de presse face à lui.
Ce jugement du Tribunal a été rendu, sans la présence du groupe "Sans Limites" et de son avocat Me Abdinar Ndiaye, en totale méconnaissance des arguments du groupe contre le sieur Cheikh Issa Sall.
D’abord, "Sans Limites" ne remet pas en cause ses publications concernant le sieur Cheikh Issa Sall et consorts, qui s’adonnent à leur sport favori : manipulation, combine et fourberie. Ensuite, comment comprendre qu’au moment où des audits sont en cours sur sa gestion au niveau de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), qu’un jugement puisse être rendu sans attendre les résultats de ces audits ?
De plus, l’avocat de "Sans Limites" a disparu depuis sa commission par le groupe. Aucune audience ne nous a été notifiée, ni par l’avocat ni par voie d’huissier, ce qui remet fortement en doute la véracité des informations faisant état de la condamnation du groupe de presse "Sans Limites".
Pour revenir au procès qui aurait eu lieu aujourd’hui, sans que nous en soyons informés, le Groupe "Sans Limites" avait pris contact avec l’avocat Me Abdinar Ndiaye, le 3 Juin 2024. Les échanges ayant eu lieu, il lui a été payé sa commission et fourni toutes les preuves dont disposait "Sans Limites".
Me Abdinar Ndiaye a esquivé nos appels depuis plus d’un mois. Joint ce jour au téléphone, après avoir vu les publications de certains posts sur les réseaux sociaux, il prétend avoir été malade pendant 3 mois et le comble, c’est nous qui l’avons informé du procès qui aurait eu lieu aujourd’hui.
Me Abdinar Ndiaye ne s’est donc pas présenté au tribunal, n’a pas tenu par courtoisie à nous en informer, comme cela se fait entre client et avocat, raison pour laquelle le jugement a été rendu par défaut, alors que toutes les preuves que nous avons, sont sur sa table.
Nous comprenons que "Sans Limites" est aujourd’hui, la cible de plusieurs caciques de l’ancien régime, qui lui reprochent ses enquêtes et publications, dénonçant de mauvais actes de gestion, dont la plupart ont été prouvés.
Sans Limites rejette donc ce verdict, si tant est qu’il existe et compte, de facto, interjeter appel contre ce jugement.
La rédaction
D’abord, "Sans Limites" ne remet pas en cause ses publications concernant le sieur Cheikh Issa Sall et consorts, qui s’adonnent à leur sport favori : manipulation, combine et fourberie. Ensuite, comment comprendre qu’au moment où des audits sont en cours sur sa gestion au niveau de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), qu’un jugement puisse être rendu sans attendre les résultats de ces audits ?
De plus, l’avocat de "Sans Limites" a disparu depuis sa commission par le groupe. Aucune audience ne nous a été notifiée, ni par l’avocat ni par voie d’huissier, ce qui remet fortement en doute la véracité des informations faisant état de la condamnation du groupe de presse "Sans Limites".
Pour revenir au procès qui aurait eu lieu aujourd’hui, sans que nous en soyons informés, le Groupe "Sans Limites" avait pris contact avec l’avocat Me Abdinar Ndiaye, le 3 Juin 2024. Les échanges ayant eu lieu, il lui a été payé sa commission et fourni toutes les preuves dont disposait "Sans Limites".
Me Abdinar Ndiaye a esquivé nos appels depuis plus d’un mois. Joint ce jour au téléphone, après avoir vu les publications de certains posts sur les réseaux sociaux, il prétend avoir été malade pendant 3 mois et le comble, c’est nous qui l’avons informé du procès qui aurait eu lieu aujourd’hui.
Me Abdinar Ndiaye ne s’est donc pas présenté au tribunal, n’a pas tenu par courtoisie à nous en informer, comme cela se fait entre client et avocat, raison pour laquelle le jugement a été rendu par défaut, alors que toutes les preuves que nous avons, sont sur sa table.
Nous comprenons que "Sans Limites" est aujourd’hui, la cible de plusieurs caciques de l’ancien régime, qui lui reprochent ses enquêtes et publications, dénonçant de mauvais actes de gestion, dont la plupart ont été prouvés.
Sans Limites rejette donc ce verdict, si tant est qu’il existe et compte, de facto, interjeter appel contre ce jugement.
La rédaction