Double meurtre de Pikine : Ces nouveaux éléments de l’enquête sur le cas Aziz Dabala
L’affaire du meurtre du danseur Abdoul Aziz Bâ, plus connu sous le nom d’Aziz Dabala, continue de connaître des rebondissements. D’après des sources de "L’As", il y a eu beaucoup de non-dits dans ce dossier pour le moins rocambolesque. Ce qui est constant, est que beaucoup de rumeurs ont été rendues publiques, au point même d’influencer l’enquête. Et puisque le commissaire Adramé Sarr de la Dic était sur le départ, il y a eu beaucoup de zones d’ombre.
"L’As" qui n’est jamais pressé pour suivre le dossier, s’est rendu compte qu’entre ce qui a été dit et ce qui est, il y a un fossé. Si l’on se fie aux derniers développements, il n’y a qu’un seul tueur et la complicité des autres n’est pas prouvée. Nabou Lèye aussi a été citée à tort dans le dossier. Il n’y a rien qui indique qu’elle a été complice du tueur. Ce dernier, en revanche, a avoué et a expliqué comment il a agi sous l’emprise du chanvre indien. Cela va sans dire qu’aussi bien le tueur présumé que sa victime, était sous l’emprise du chanvre, du moins si l’on se réfère à l’enquête.
En effet, d’après ses sources, le tueur présumé y était pour de l’argent et connaissait bien l’orientation sexuelle du défunt qui lui faisait les yeux doux. Sur place, ce dernier, armé de son arsenal de séduction, aurait tenté de le séduire. Une somme de cinq mille a même été remise au tueur. Mais on ne sait ce qui s’est passé pour que ça se termine par un coup de poignard au niveau du cou, puis une bagarre mortelle.
Le journal rappelle que le présumé meurtrier aussi s’en est tiré avec des blessures contractées lors de la bagarre. Pour ses soi-disant complices, il fallait juste les mettre en cause, mais tous les deux ont été mis hors de cause. Pour le premier, il a certes voyagé avec le meurtrier présumé et ce dernier lui a avoué le meurtre, mais il ne lui a jamais donné l’occasion de s’en ouvrir à qui que ce soit.
Il l’a contraint à se rendre avec lui à Touba et le suivait comme son ombre. C’est quand il a eu l’occasion, qu’il a informé les pompiers puis les gendarmes qui l’ont cueilli. Pour le second, il l’a gardé à ses côtés tout au long du Magal, pour que ce dernier n’informe pas la police. C’est donc à son retour du Magal qu’il a informé son père. Ce dernier, en homme responsable, l’a emmené à la police.
La question que se posent les enquêteurs, c’est pourquoi Nabou Lèye a été mise en cause par les accusés, alors que tout la disculpe. En tout état de cause, "L’As" se dit convaincu que toute la vérité n’est pas connue dans ce dossier. Ce qui est tout de même constant, est que l’enquête a été bâclée. Le juge d’instruction dispose de six mois pour tirer au clair et renvoyer en jugement le ou les véritables tueurs et leurs complices réels.
En effet, d’après ses sources, le tueur présumé y était pour de l’argent et connaissait bien l’orientation sexuelle du défunt qui lui faisait les yeux doux. Sur place, ce dernier, armé de son arsenal de séduction, aurait tenté de le séduire. Une somme de cinq mille a même été remise au tueur. Mais on ne sait ce qui s’est passé pour que ça se termine par un coup de poignard au niveau du cou, puis une bagarre mortelle.
Le journal rappelle que le présumé meurtrier aussi s’en est tiré avec des blessures contractées lors de la bagarre. Pour ses soi-disant complices, il fallait juste les mettre en cause, mais tous les deux ont été mis hors de cause. Pour le premier, il a certes voyagé avec le meurtrier présumé et ce dernier lui a avoué le meurtre, mais il ne lui a jamais donné l’occasion de s’en ouvrir à qui que ce soit.
Il l’a contraint à se rendre avec lui à Touba et le suivait comme son ombre. C’est quand il a eu l’occasion, qu’il a informé les pompiers puis les gendarmes qui l’ont cueilli. Pour le second, il l’a gardé à ses côtés tout au long du Magal, pour que ce dernier n’informe pas la police. C’est donc à son retour du Magal qu’il a informé son père. Ce dernier, en homme responsable, l’a emmené à la police.
La question que se posent les enquêteurs, c’est pourquoi Nabou Lèye a été mise en cause par les accusés, alors que tout la disculpe. En tout état de cause, "L’As" se dit convaincu que toute la vérité n’est pas connue dans ce dossier. Ce qui est tout de même constant, est que l’enquête a été bâclée. Le juge d’instruction dispose de six mois pour tirer au clair et renvoyer en jugement le ou les véritables tueurs et leurs complices réels.