Et si on fichait un peu la paix aux gens du voyage, pour changer ?
C’est, en moins d’un an, la seconde fois qu’un président de parti (et l’on sait à quel point ils sont puissants en Belgique) invoque la communauté itinérante. Le premier était Conner Rousseau, de manière scandaleuse et raciste. Le second est Georges-Louis Bouchez, dans une comparaison nettement moins grave que le premier, mais qui ouvre la porte à la stigmatisation néanmoins. L'Edito. ...