Bazoncourt. « Il ne me reste plus que 550 euros à la fin du mois » : la dure réalité d’un fermier en circuit court
Depuis 2009, Philippe Duval, agriculteur à Bazoncourt, mise sur la vente directe pour faire vivre sa ferme caprine. Avec une production annuelle de 40 000 litres de lait, transformée sur place, l’exploitation ne dépend que de ses clients. Son activité repose sur un équilibre fragile avec des coûts de production croissants.