Succès populaire pour la fête du 15 août

Saint-Martin-des-Lais. Un 15 août fêté en nombre. Après les feux d’artifice de Tronget et la fête médiévale de Souvigny, le petit village de Saint-Martin-des-Lais de 127 âmes n’a pas à rougir. Le comité des fêtes a parfaitement réussi la fête patronale du 15 août, une fête villageoise qui, à travers le temps, est devenue incontournable comme le confirmaient les 400 participants arrivant en famille ou entre amis.

La journée commençait à 10 h 30, le temps étant de la partie, le père Christian Gras célébrait la messe sous les chapiteaux. A l’issue, la population profitait d’une collation, deux familles de Saint-Martin, Rémy Bohy et Claude Coulon, offraient la traditionnelle brioche. Les festivités reprenaient à 17 heures par le concours de quilles en bois. Après 3 heures de prouesses, de tirs ajustés et nombreux strikes, les vainqueurs se révélaient. Catégorie hommes, Alain Baillon, avec 18 points, gagnait un bon cadeau à la guinguette de La Grenouille ; catégorie femmes, Mathilde Laplace, avec 20 points, remportait le même lot et, pour la catégorie enfants, Guillaume Le Nezet, avec 12 points, gagnait des tickets pour le tir à la carabine. Les plus jeunes s’essayaient à la pêche aux canards ou glissaient dans la structure gonflable, les plus grands gagnaient leurs lots au stand de tir à la carabine.

En fin d’après-midi, la tombola était tirée. Les principaux lots : un salon de jardin à Jean-Marc Venuat de Saint-Ennemond, une machine à gâteaux pour Marcel Bardet, de Saint-Martin-des-Lais, et un airfryer pour Isabelle Bardet, de Senan (Yonne). Le comité des fêtes remettait comme tous les ans des cadeaux aux 16 enfants de la commune âgés de 1 à 12 ans.

Patrick Blanchet, de Moulins, accompagné de sa guitare, animait la soirée pendant le repas champêtre jusqu’au feu d’artifice, offert par la municipalité, qui éclairait la nuit noire à partir de 22 h 30, étincelles, fusées, gerbes pendant une vingtaine de minutes, largement applaudi. Le calme revenu était de courte durée, le bal populaire prenait le relais pour la nuit.