Des tatouages "haute-couture" dans un salon clermontois gardé secret
Voici donc la maison Chateaunoir. Cent mètres carrés à quelques enjambées du centre-ville de Clermont-Ferrand. Un endroit décoré tel un cabinet de curiosité. Grands miroirs, objets déco en tous genres, figurines, bougies, canapé, parquet ancien, tout est là pour ancrer leur philosophie : proposer un endroit intimiste, discret et à leur image. « Je ne voulais plus d’un lieu où l’on entre au hasard, où l’on tatoue à la chaîne. On veut proposer un vrai lieu de rendez-vous, du sur-mesure. » Se sentir bien, en confiance, comme à la maison (Chateaunoir), le projet destiné à être dessiné à vie, ou presque, sur la peau, n’en sera que plus beau. D’ailleurs ce nom d’où vient-il ? « Nous avons travaillé sur ce projet durant deux ans. C’est un lieu de fusion de nos deux passions. On a l’ambition de ressembler à une maison haute couture qui casse les codes. Créative et passionnée. »
Maison Chateaunoir veut casser les codesAutrement dit un lieu unique avec un nom qui évoque un côté volontairement rétro et surtout le noir de notre cathédrale clermontoise, au dessin là aussi quasi parfait. Un souci du détail choyé par Adam qui s’est exercé au tatouage sur son papa à 16 ans… Des fleurs de lotus au début aux tatouages réalistes, ornementaux et géométriques pour lui l’adepte de la finesse et du détail que l’on scrute.
Anne-Laura propose le hifu, une méthode de lifting sans injection.
L'esthétique d'Anna-Laura se veut innovanteAnna-Laura, de son côté, a un tout autre dessein. Celui de l’esthétique. Aux petits soins, notamment du regard et de la peau avec le Carbon Peel. Ce soin américain consistant à appliquer un masque de charbon qui absorbe les imperfections grâce à de la lumière pulsée. Autre chose ? Un soin inédit : le Hifu. Une alternative au lifting sans chirurgie ou injection…
Ces deux-là ont la passion dans la peau et des rêves plein les yeux. Pour les trouver ? Contactez-les sur instagram ou planity (saudadebeaute) et entrez à votre tour dans la confidence.
Carole Eon