À Saint-Brieuc, est-il possible de désengorger la maison d’arrêt ?
Matelas au sol, « conditions de détention intolérables », « mise en péril de la sécurité »… Les surveillants pénitentiaires jugent ingérable la surpopulation carcérale à la maison d’arrêt de Saint-Brieuc. Si des alternatives à l’incarcération existent, le parquet, qui doit composer avec une activité pénale « très soutenue », entend continuer d’apporter des réponses fermes à certains types d’infractions.