Le Saint-Flour HB à la relance

L'assemblée générale du Saint-Flour HB s'est tenue dernièrement au complexe sportif intercommunal. Sandrine Fidelle, co-présidente, a conduit la soirée avec clarté et maîtrise, tout en remerciant son «petit monde», tous ceux qui ont fait et font que le Saint-Flour HB est aujourd'hui un club reconnu et apprécié tant sur le plan national, régional que départemental.

À partir d'une organisation soignée faite de commissions multiples, sont engagés les 22 membres que composent le conseil administratif et toutes les « petites mains » qui font la force du club. Un Saint-Flour HB qui progresse sur la plan effectif, Sandrine Fidelle veut le voir rayonner tout en lui conservant ses valeurs de fair-play et de combativité.

Un club de terroir qui joue avant tout la carte de la formation

Les rétrogradations des deux équipes fanions ont certes déçu, mais ce n'est pour elle qu'une étape d'un club de terroir qui joue avant tout la carte de la formation des jeunes. 30 éducateurs et entraîneurs s'y collent à longueur de semaines. Les résultats probants sur la majorité des 17 équipes présentées cette saison dans toutes les catégories existantes, sont autant de signes positifs pour ambitionner rapidement les niveaux N1 et N3.

Pour conclure elle a tenu « à saluer particulièrement les soutiens institutionnels et les 50 sponsors privés. Ils sont vitaux pour faire vivre le Saint-Flour HB, sans eux, cela serait une mission impossible».

Sous la conduite du conseil d'administration, douze commissions ciblent les besoins et en tirent les opérations à mener. Une méthode qui va de l'animation au sportif, en passant par le développement, les finances, l'avenir..

Le bilan financier concernant la saison 2022-2023 est une bonne nouvelle. Il s'inscrit en vert : 1747 € de positif pour un budget qui avoisine les 250.000 €. Pour la saison à venir, toutes les aides et soutiens ne sont pas encore enregistrées. Alexis et Lydie, les « comptables maison », ont logiquement besoin de temps pour en tirer un bilan crédible. Ce qui paraît certain, c'est qu'une hausse progressive, de 3 à 5 €, des licences semble nécessaire.