REPORTAGE. Dix ans après, l’ancienne capitale syrienne de l’État islamique panse toujours ses plaies
Libérée en 2017 par une coalition emmenée par des forces kurdes, après trois années sous le joug du groupe État islamique, la ville de Raqqa, en Syrie, tente de panser des plaies encore béantes. Les habitants redoutent les cellules dormantes djihadistes, mais aussi un retour des troupes du régime Assad. L’élection prochaine d’un conseil municipal, à parité femmes-hommes, est un symbole.