Renouvellement de plaques : Dr. Cheikh Dieng, DG de l’ONAS, ouvre un vaste chantier aux mairies de Rufisque et de Grand-Yoff
Le Directeur général, Dr. Cheikh Dieng s’est rendu hier, à la mairie de Rufisque et de Grand-Yoff, pour remettre de manière symbolique des plaques. L’ONAS mise sur la pose de 3 000 nouvelles plaques dans des villes desservies par les réseaux d’assainissement.
Le choix de l’Office national de l’Assainissement du Sénégal (ONAS), porté sur ces deux localités, s’explique par la forte demande en renouvellement. Rien qu’à Rufisque-Est, les besoins en plaques sont estimés à 100 plaques. Alors dans la ville de Rufisque, les estimations des services techniques avoisinent 400. « Nous avons un objectif de renouvellement de 3 000 plaques. Nous avons choisi de vous remettre symboliquement quelques plaques, en attendant que nos techniciens les posent », a précisé le Directeur Général de l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS), D.r Cheikh Dieng.
Vol des couvercles des regards, dénoncé
Le Directeur général de l’ONAS a dénoncé à la mairie de Rufisque-Est comme à la mairie de Grand-Yoff, le vol des couvercles des regards, un acte qui a des conséquences sur le plan de fonctionnement des ouvrages et qui expose les populations aux dangers. Surtout que seulement 2 à 3 % des plaques sont endommagées. « Nous avons peu de plaques endommagées. Beaucoup de nos plaques sont volées. Le danger, c’est de voir des enfants et des adultes glisser dans les regards sans plaque. L’autre conséquence, les engorgements des canalisations consécutifs à l’introduction du sable, des déchets. Il y a aussi l’obstruction de ces canalisations qui provoque le reflux des eaux usées », a constaté le Directeur général de l’ONAS, Dr. Cheikh Dieng.
Ainsi, le maire de Rufisque-Est, Elimane Sembène a salué la collaboration avec l'ONAS et s’est engagé à mener des séances de sensibilisation pour un changement de comportements. « Le renouvellement des plaques est une demande émanant des populations. Ce que vous faites, est destiné aux populations. Pour sa part, la mairie va mener des actions de sensibilisation », a promis le maire Elimane Sembène.
Au nom du maire absent, Monsieur Biaye a estimé que le renouvellement des plaques est venu à son heure dans leur commune, confrontée à des problèmes d’assainissement. Comme la mairie de Rufisque-Est, la mairie de Grand-Yoff va également œuvrer à la sécurisation de ces installations.
Le fait est cette question ne sera pas gérée ou prise en charge avec uniquement les services de l’Etat. « Le Premier Ministre, Ousmane Sonko, lors du Conseil interministériel sur les inondations, a donné des instructions pour impliquer les populations dans tout ce que nous faisons », a rappele le Directeur général. Après des années de sensibilisation, l’ONAS agite le bâton. Une plainte a été déposée contre les auteurs des actes malveillants, aux conséquences incalculables.
Un renouvellement des plaques qui pèse sur le budget de l’ONAS
Par ailleurs, il a été révélé que le renouvellement des plaques pèse sur le budget de l’ONAS. L’établissement est tenu de renouveler certaines plaques chaque année, pour la sécurité des populations. Le réseau d’évacuation des eaux fait l’objet d’agressions. L’un des actes inciviques les plus visibles, c’est le vol des plaques.
Ces couvercles en métal posés sur les regards, sont emportés par des personnes qui ne cultivent pas la préservation du bien public. Il est rare de parcourir des rues, des ruelles et des routes, dans des quartiers drainés, sans courir le risque de trébucher dans un regard non couvert. C’est d’ailleurs cela qui a motivé l’urgence pour l’ONAS, de lancer l’opération de renouvellement de 3.000 plaques.
Vol des couvercles des regards, dénoncé
Le Directeur général de l’ONAS a dénoncé à la mairie de Rufisque-Est comme à la mairie de Grand-Yoff, le vol des couvercles des regards, un acte qui a des conséquences sur le plan de fonctionnement des ouvrages et qui expose les populations aux dangers. Surtout que seulement 2 à 3 % des plaques sont endommagées. « Nous avons peu de plaques endommagées. Beaucoup de nos plaques sont volées. Le danger, c’est de voir des enfants et des adultes glisser dans les regards sans plaque. L’autre conséquence, les engorgements des canalisations consécutifs à l’introduction du sable, des déchets. Il y a aussi l’obstruction de ces canalisations qui provoque le reflux des eaux usées », a constaté le Directeur général de l’ONAS, Dr. Cheikh Dieng.
Ainsi, le maire de Rufisque-Est, Elimane Sembène a salué la collaboration avec l'ONAS et s’est engagé à mener des séances de sensibilisation pour un changement de comportements. « Le renouvellement des plaques est une demande émanant des populations. Ce que vous faites, est destiné aux populations. Pour sa part, la mairie va mener des actions de sensibilisation », a promis le maire Elimane Sembène.
Au nom du maire absent, Monsieur Biaye a estimé que le renouvellement des plaques est venu à son heure dans leur commune, confrontée à des problèmes d’assainissement. Comme la mairie de Rufisque-Est, la mairie de Grand-Yoff va également œuvrer à la sécurisation de ces installations.
Le fait est cette question ne sera pas gérée ou prise en charge avec uniquement les services de l’Etat. « Le Premier Ministre, Ousmane Sonko, lors du Conseil interministériel sur les inondations, a donné des instructions pour impliquer les populations dans tout ce que nous faisons », a rappele le Directeur général. Après des années de sensibilisation, l’ONAS agite le bâton. Une plainte a été déposée contre les auteurs des actes malveillants, aux conséquences incalculables.
Un renouvellement des plaques qui pèse sur le budget de l’ONAS
Par ailleurs, il a été révélé que le renouvellement des plaques pèse sur le budget de l’ONAS. L’établissement est tenu de renouveler certaines plaques chaque année, pour la sécurité des populations. Le réseau d’évacuation des eaux fait l’objet d’agressions. L’un des actes inciviques les plus visibles, c’est le vol des plaques.
Ces couvercles en métal posés sur les regards, sont emportés par des personnes qui ne cultivent pas la préservation du bien public. Il est rare de parcourir des rues, des ruelles et des routes, dans des quartiers drainés, sans courir le risque de trébucher dans un regard non couvert. C’est d’ailleurs cela qui a motivé l’urgence pour l’ONAS, de lancer l’opération de renouvellement de 3.000 plaques.