Une nouvelle école primaire
La commune nouvelle de Cressensac-Sarrazac née le 1 er janvier 2019, de la fusion des communes de Cressensac et de Sarrazac, est le point de départ d’un projet visant à créer les conditions optimales d’attractivité (école nouvelle, crèche, maison médicale, pharmacie, commerces, boulangerie…), avec pour atouts : la proximité de Brive, de l’A20 et de l’aéroport Brive Vallée de la Dordogne.
La construction d’une école de 900 m 2 à Cressensac, moderne et à la pointe des défis environnementaux, tout en répondant aux besoins des enseignants comme des élèves, vient en remplacement des cinq classes réparties sur trois écoles vétustes, de Sarrazac, l’Hôpital-Saint-Jean et Cressensac.
L’école, baptisée Thomas Pesquet, avec autorisation de l’intéressé, de l’Agence spatiale européenne, comprend quatre classes de 60 m 2 avec un atelier de 15 m 2 et une salle de motricité qui, si besoin, pourra être transformée en nouvelle salle de classe, ainsi qu’une garderie de 70 m 2 . Ouverte à la rentrée scolaire 2023-2024, elle a été inaugurée fin avril.
« Quatre années de travail ont conduit à l’aboutissement d’un projet tourné vers l’avenir, a précisé le maire, Habib Fenni. Cette réalisation était l’occasion d’inscrire l’établissement dans une dimension éducative pour et avec les élèves. Dimension où pour chaque élève, la notion de préservation de la planète, énergie renouvelable, biodiversité avait un sens concret dans l’école. »
Les anciennes classes transforméesPour autant, pas question de laisser des friches scolaires : à Sarrazac bourg, création d’un appartement pour une location communale à vocation sociale ; à L’Hôpital-Saint-Jean, création d’un accueil du public pour le centre social et culturel du Rionet (projet financer à 30 % par la CAF) ; à Cressensac, création d’un ALSH avec un financement de 60 % et un début des travaux en novembre prochain.
Financement. Le coût de la construction de l’école s’élève à 3.129.892 € TTC, financé par Fast (319.449 €) ; la Région (42.000 €) ; Cauvaldor (100.000 €) ; l’État (1.470.000 €) ; un emprunt de 700.000 € plus une dotation supplémentaire de 50.000 € par l’entreprise Photosol pour l’achat de mobilier scolaire.