Nestlé et Cérelac: Des sucres cachés dans les produits pour bébés, en Afrique ?
Une récente enquête menée par l'ONG suisse Public Eye, a mis en lumière une pratique alarmante de Nestlé : la présence de niveaux élevés de sucre ajouté dans ses produits infantiles vendus en Afrique, notamment au Sénégal. Cette découverte a déclenché une vague d'indignation parmi les consommateurs et ravivé les préoccupations concernant la sécurité alimentaire des enfants dans la région.
Les conclusions de l'enquête sont troublantes :
Des niveaux élevés de sucre ajouté : Les céréales Celerac pour bébés examinées au Sénégal, contiennent en moyenne près de 4 grammes de sucre ajouté par portion, soit environ un carré de sucre. Ces niveaux sont encore plus élevés dans d'autres pays africains, atteignant jusqu'à 6,8 grammes au Nigéria et 5,9 grammes au Sénégal pour la même bouillie.
Des risques pour la santé des enfants : Les experts médicaux tirent la sonnette d'alarme sur les conséquences de cette exposition précoce au sucre. L'obésité, les caries dentaires, le diabète et d'autres maladies chroniques sont autant de risques accrus pour les enfants qui consomment ces produits.
Un manque de réglementation et de contrôle : Le Sénégal et de nombreux autres pays africains souffrent d'un manque de réglementation efficace, pour contrôler la composition des aliments pour bébés. Cela permet à des entreprises comme Nestlé, de commercialiser des produits qui ne répondent pas aux besoins nutritionnels des enfants.
Face à cette situation alarmante, un appel à l'action est lancé :
Mobilisation des consommateurs et des autorités : Il est crucial que les consommateurs sénégalais soient informés des dangers des sucres ajoutés dans les produits pour bébés. Ils peuvent exercer une pression sur Nestlé en boycottant ses produits et en appelant les autorités à mettre en place des réglementations plus strictes.
Responsabilité de Nestlé et des autorités sénégalaises : Nestlé doit assumer ses responsabilités, en reformulant ses produits pour bébés destinés aux pays africains. Parallèlement, les autorités sénégalaises doivent agir pour protéger les enfants de l'industrie agroalimentaire et garantir un accès à une alimentation saine et nutritive.
En somme, la santé des enfants est en jeu et des mesures urgentes sont nécessaires pour remédier à cette situation préoccupante.
Des niveaux élevés de sucre ajouté : Les céréales Celerac pour bébés examinées au Sénégal, contiennent en moyenne près de 4 grammes de sucre ajouté par portion, soit environ un carré de sucre. Ces niveaux sont encore plus élevés dans d'autres pays africains, atteignant jusqu'à 6,8 grammes au Nigéria et 5,9 grammes au Sénégal pour la même bouillie.
Des risques pour la santé des enfants : Les experts médicaux tirent la sonnette d'alarme sur les conséquences de cette exposition précoce au sucre. L'obésité, les caries dentaires, le diabète et d'autres maladies chroniques sont autant de risques accrus pour les enfants qui consomment ces produits.
Un manque de réglementation et de contrôle : Le Sénégal et de nombreux autres pays africains souffrent d'un manque de réglementation efficace, pour contrôler la composition des aliments pour bébés. Cela permet à des entreprises comme Nestlé, de commercialiser des produits qui ne répondent pas aux besoins nutritionnels des enfants.
Face à cette situation alarmante, un appel à l'action est lancé :
Mobilisation des consommateurs et des autorités : Il est crucial que les consommateurs sénégalais soient informés des dangers des sucres ajoutés dans les produits pour bébés. Ils peuvent exercer une pression sur Nestlé en boycottant ses produits et en appelant les autorités à mettre en place des réglementations plus strictes.
Responsabilité de Nestlé et des autorités sénégalaises : Nestlé doit assumer ses responsabilités, en reformulant ses produits pour bébés destinés aux pays africains. Parallèlement, les autorités sénégalaises doivent agir pour protéger les enfants de l'industrie agroalimentaire et garantir un accès à une alimentation saine et nutritive.
En somme, la santé des enfants est en jeu et des mesures urgentes sont nécessaires pour remédier à cette situation préoccupante.