Echanges avec Alexis Allah et Gérard Grégoire
Champs-sur-Tarentaine-Marchal. Rencontre-dédicace à la médiathèque avec Alexis Allah et Gérard Grégoire. Suite à la sortie du livre La marche des nénuphars , écrit par Alexis Allah, mais « à quatre mains », avec la collaboration de Gérard Grégoire (*), Christèle Aulombard, responsable de la médiathèque municipale Léon-Gerbe, propose une « rencontre-dédicace », avec les auteurs, samedi 10 février, de 10 heures à midi. Pour ces derniers, ce sera l’occasion de parler de leurs destins croisés entre La France et la Côte d’Ivoire, qui ont « nourri » l’histoire de ce roman. Une histoire qui voit l’un des personnages partir de France pour aller faire sa vie en Côte d’Ivoire quand le second fait le chemin inverse. Mais, les deux se reconnaissent « citoyens des deux pays qui n’ont pas de secret pour eux ». Dans la réalité, c’est bien les parcours de Gérard Grégoire et d’Alexis Allah qui sont en toile de fond. Le premier décidé après son service national d’aller tenter sa chance en Afrique. Ça lui sourit. Il travaillera et développera plusieurs entreprises. En parallèle, il aura plusieurs hautes responsabilités en Côte d’Ivoire et dans d’autres pays d’Afrique. À la retraite et ayant pris du recul par rapport à ses engagements sur le continent africain, il est revenu au pays depuis plusieurs années. Le second n’en est pas là. Né en Côte d’Ivoire, il vient en France où il devient professeur de lettres modernes en Auvergne. Après son roman L’œil du marigot , primé par l’Académie internationale de Lutèce, Alexis Allah croise Gérard Grégoire en Sancy Artense où ils sont établis. Avec ce dernier, il échange sur leur parcours et décide d’écrire La marche des nénuphars , son septième roman. Un roman de « regards croisés à travers deux parcours atypiques, foisonnants et authentiques qui se répondent au-delà des continents, comme une inépuisable source de vie ». Une histoire et des regards que sont invités à découvrir les lecteurs de la région.
(*) Aux éditions L’Harmattan avec une préface d’Olivia Grégoire.