Eïleen, elle s'appelle Eïleen, c'est une fille... et c'est surtout le premier bébé de l'année 2024 à la maternité de Montluçon
À jamais la première... 2024 avait à peine pointé le bout de son nez, ce lundi 1er janvier, qu’Eïleen a décidé de lui crier dessus, à 1 h 55 du matin, à la maternité de Montluçon (Allier). Affichant petitement mais sainement 2,790 kg à la pesée et 47 cm sous la toise, elle est ainsi arrivée comme une boule d’amour et de flipper. Entrant dans la vie de ses parents et dans les annales de l’hôpital, comme le premier bébé de cette nouvelle année 2024.
Une première naissance en 2024..."Le terme était prévu le 19 janvier, mais dès le matin [dimanche] j’ai ressenti des contractions", raconte la maman, Stéphanie, âgée de 29 ans et exerçant la profession d’agent d’entretien. À côté d’elle, le papa, Éric, 33 ans, qui travaillait encore dernièrement dans le même secteur d’activité, tient câlinement sa "petite puce" lovée dans ses bras.
Laquelle est la première enfant du couple… mais la cinquième de cette famille installée à Domérat (Allier) et fort bien re-composée. Puisque Stéphanie avait déjà une fille (8 ans) et deux garçons (4 ans, 3 ans), contre un petit bonhomme de 6 ans pour Éric. Bref, le compte est bon :
"On s’est mis ensemble un 1er février, Eïleen est donc née le 01/01 à 1 h 55, et c’est la 1re de l’année !"
En plus, "tout s’est bien déroulé, les équipes de la maternité ont été vraiment sympas et gentilles de A à Z", reprennent-ils de paire, et de mère. "Tout le monde a été adorable avec nous et ça c’est important. Car quand on arrive ici on n’est jamais très à l’aise, mais eux font tout ce qu’il faut pour qu’on le soit".
...et 901 au total en 2023Et il en sera de même pour chaque autre bien-heureux événement de 2024. Comme ce fut déjà le cas en 2023, de la première à la 901ème naissance, prénommée Salomée et qui a réveillonné à 22 h 44 ce dimanche 31 décembre.
Les chiffres sont certes en baisse par rapport aux 936 bébés de 2022, aux 969 de 2021, et bien sûr aux 1.000 pile de 2019. Mais cette diminution, de -4 % sur l’année écoulée, reste en deçà des -7 % de la moyenne nationale. Et quand on sait qu’une seconde belle résolution était attendue hier soir, on se dit que quand on “vœu” on peut.
Luc Barre