Son arrestation n'est qu'un exemple parmi d'autres de la répression qui a cours dans le pays hôte de la conférence climatique COP29 en novembre, au risque, selon les critiques, de décrédibiliser les autorités de l'ex-république soviétique.
Derrière les barreaux depuis son interpellation le 29 avril, Anar Mammadli encourt huit ans de prison pour "contrebande" s'il est reconnu coupable, déclare à l'AFP son collègue Bashir Suleymanli.
Ensemble, ils ont fondé l'organisation Climate of Justice Initiative... Читать дальше...