Metz : La troublante relaxe au nom du « droit de correction » d’un père accusé de violence sur ses fils
La cour d’appel de Metz a relaxé un fonctionnaire de police accusé de violences envers son ex-femme et ses fils au nom du « droit de correction ». Une notion qui n’apparaît pas dans le Code pénal.Dès le lendemain de la décision, le parquet général a indiq