Le président sud-coréen est dans la tourmente, à deux mois d’élections législatives cruciales. Signe de l’ampleur de la crise, le dirigeant conservateur a renoncé mi-février à une visite d’Etat en Allemagne, pourtant son premier partenaire commercial en Europe. Yoon Suk-yeol doit en effet faire face à une avalanche de problèmes intérieurs à l’approche du scrutin : cote de popularité en berne à 29 %, ralentissement économique, fortes tensions avec une Corée du Nord toujours plus menaçante…
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