Don d’organes, ce que disent les religions
L’Agence de la biomédecine, qui rapporte mardi 13 février que le taux d’opposition au prélèvement d’organes post-mortem s’établit à plus de 33 % en 2023, évoque entre autres le « facteur religieux ». Les religions monothéistes permettent pourtant, pour sauver une vie, de s’affranchir du caractère inviolable du corps humain.