Michel-Édouard Leclerc ne veut pas jouer le bouc émissaire de la crise agricole. Il accuse même un groupe de députés de l’avoir visé personnellement durant le mouvement. Il regrette d’ailleurs que les critiques des agriculteurs se concentrent majoritairement sur la grande distribution, alors que, il le rappelle, le secteur n’achète qu’un tiers des produits agricoles français. Et il pointe du doigt les politiques, les industriels et la restauration collective. On en parle avec : Ludovic Mendes, député Renaissance de la Moselle. Читать дальше...