Pour relancer Domitexka Saloum: Serigne Mboup réclame 700 millions de FCfa à l'État
L’homme d’affaires Serigne Mboup, repreneur de la société de textile Domitexka Saloum, dans la commune de Kahone, soutient que l’État lui doit 700 millions de FCfa.
Selon leSoleil, ce passif qui remonte aux régimes de Me Wade et de Macky Sall, dit-il, plombe l’entreprise en dépit de plusieurs milliards investis pour relancer l’unité industrielle. « Aujourd’hui, sur la douzaine d’ateliers, seuls deux ou trois sont fonctionnels, dont celui produisant les tissus appelés « maylouss ». Démarrer une telle usine pour un seul produit engendre un énorme manque à gagner pour les travailleurs et le repreneur », a déclaré M. Mboup lors d’une conférence de presse tenue hier à Kaolack.
Cette situation, insiste-t-il, a plombé tous les plans de relance. Serigne Mboup invite donc les nouvelles autorités à régler le passif afin de permettre un redémarrage de l’unité industrielle et contribuer ainsi à la création d’emplois dans la région. M. Mboup, également maire de Kaolack, s’est prononcé sur les contrats offerts aux jeunes sénégalais en Europe et en Asie, jugeant « impensable d’exporter la main-d’œuvre locale dans les champs en Espagne ou ailleurs et prétendre réussir la souveraineté économique ».
Selon leSoleil, ce passif qui remonte aux régimes de Me Wade et de Macky Sall, dit-il, plombe l’entreprise en dépit de plusieurs milliards investis pour relancer l’unité industrielle. « Aujourd’hui, sur la douzaine d’ateliers, seuls deux ou trois sont fonctionnels, dont celui produisant les tissus appelés « maylouss ». Démarrer une telle usine pour un seul produit engendre un énorme manque à gagner pour les travailleurs et le repreneur », a déclaré M. Mboup lors d’une conférence de presse tenue hier à Kaolack.
Cette situation, insiste-t-il, a plombé tous les plans de relance. Serigne Mboup invite donc les nouvelles autorités à régler le passif afin de permettre un redémarrage de l’unité industrielle et contribuer ainsi à la création d’emplois dans la région. M. Mboup, également maire de Kaolack, s’est prononcé sur les contrats offerts aux jeunes sénégalais en Europe et en Asie, jugeant « impensable d’exporter la main-d’œuvre locale dans les champs en Espagne ou ailleurs et prétendre réussir la souveraineté économique ».