Réduction des disparités territoriales et sociales : Laftit fait le point
div class=field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hiddendiv class=field-itemsdiv class=field-item even property=content:encodedp class=rtejustifyLes investissements réalisés dans le cadre du programme de réduction des disparités spatiales et sociales en milieu rural (2017-2023) ont permis la réalisation de 8.170 projets sur un total de 10.939, soit un taux de 75%, a indiqué, mardi à Rabat, le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit. Il a souligné qu'il s’agit de 2.511 projets de mise à niveau de routes et de voies rurales, 1.981 projets de mise à niveau du secteur de l’enseignement, 1.462 projets de promotion du secteur de la santé, 1.273 projets d’électrification et 943 projets d’approvisionnement en eau potable./p
p class=rtejustifyAu total, 1.464 projets sont en cours de réalisation selon l'Intérieur. Les différentes chantiers ont permis une amélioration des taux de réduction des disparités spatiales et sociales au niveau des communes les plus précaires, se situant en deçà de la moyenne régionale, a indiqué Laftit, notant que la priorité a été accordée aux projets portant sur les routes, auxquels il a été alloué 70% du budget du programme. Les réalisations de ces projets ont principalement porté sur les routes classées. Ainsi, 3.246 km ont connu des travaux d’aménagement et de réhabilitation./p
blockquotep class=rtejustifyConcernant les routes non classées, M. Laftit a fait remarquer que 4.572 km ont connu des travaux d'entretien et d’aménagement. Le programme de réduction des disparités spatiales et sociales en milieu rural, dont le coût s’élève à 50 milliards de DH, a pour objectif le désenclavement des zones rurales et montagneuses à travers la création de routes et de voies pour mieux bénéficier des ressources naturelles et économiques, outre la mise à niveau du secteur de l’enseignement et l’amélioration de l’accès des habitants aux services de base en matière d’électricité, d’approvisionnement en eau potable et de santé, a-t-il ajouté./p
p class=rtejustifyS’agissant du montage financier de ce programme, le ministre a souligné qu’il est réparti entre les conseils régionaux à hauteur de 20 milliards de DH, soit 40%, le Fonds du développement rural et des zones montagneuses à hauteur de 10,5 milliards de DH (soit 21%), le ministère de l’Équipement et de l’Eau à hauteur de 8 milliards de DH (16%) et l’Initiative nationale pour le développement humain (INDH) à hauteur de 5 milliards de DH (8%). Ont contribué également à ce programme, le ministère de l'Éducation nationale à hauteur de 3 milliards de DH (5%), l'Office national de l'électricité et de l'eau potable (ONEE) à hauteur de 2,5 milliards de DH (5%), et les ministères de la Santé et de l'Agriculture à hauteur de 2 milliards de DH chacun./p
p class=rtejustifyDressant le bilan de ce programme depuis son lancement en 2017, M. Laftit a précisé qu'un total de sept plans d’action régionaux annuels pour le développement des zones rurales et montagneuses ont été élaborés, avec un budget global avoisinant les 49,25 milliards de DH, soit environ 99% du budget total du programme, en tenant compte de toutes les sources de financement. Les crédits alloués se sont élevés, selon le ministre, à près de 45,77 milliards de DH, soit 90% des crédits programmés, répartis entre les Conseils régionaux à hauteur de 18,87 milliards de DH d'un total de 19,89 milliards de DH (94%), le Fonds de développement rural et des zones de montagne (FDRZM) avec 19,28 milliards de DH sur 23,3 milliards de DH (83%), l'INDH avec 4,1 milliards de DH sur 4,08 milliards de DH (+100 %), et l'ONEE avec 3,52 milliards de DH sur un total de 2,56 milliards de DH prévus, soit 137%./p
p class=rtejustifyAu titre de la période 2017-2023, les crédits engagés ont atteint environ 43,5 milliards de DH, soit 96% des crédits alloués, tandis que les paiements ont dépassé 32,2 milliards de DH, soit 74%, a fait savoir le ministre, ajoutant que le taux d’engagement des régions oscille entre 90% dans la région Fès-Meknès et 99% dans les régions Rabat-Salé-Kénitra et Laâyoune-Sakia El Hamra. Les taux de paiement varient, quant à eux, entre 68% dans les régions Drâa-Tafilalet et Guelmim-Oued Noun et 96% dans la région Dakhla-Oued Ed-Dahab, a-t-il détaillé./p
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